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Indépendants, retraités, fonctionnaires…
pour votre « mutuelle  » santé…

Economisez 30 à 60% de vos cotisations… avec une meilleure couverture

Pour les dépenses de santé du quotidien, pas de cotisation à fonds perdus : ce que vous ne dépensez pas, vous l’économisez et l’argent reste à vous.

Pour les problèmes grave de santé, en revanche, vous disposez de la meilleure assurance du marché.

Ils l'ont conseillé
nous l'avons développé pour vous

« Les chiffres sont têtus. Sauf de manière ponctuelle, la complémentaire santé, dite mutuelle par abus de langage, est un mauvais plan financier : vous allez payer beaucoup plus en cotisations que vous ne recevrez de remboursements. Cet état de fait est le lot de tous ceux qui doivent financer à 100% cette assurance. Au premier chef les retraités, mais aussi les fonctionnaires, les chômeurs et les travailleurs indépendants »

« Sur 100 euros versés à sa mutuelle, seuls 57 euros serviront au remboursement des soins, explique Cyrille Chartier-Kastler, fondateur du cabinet Facts & Figures et du site Goodvalueformoney. En cause : les taxes et les frais de gestion et de commercialisation des assureurs. »

« Un tiers du coût d’un contrat de mutuelle sert à financer des frais de gestion et des taxes. Cela fait beaucoup. Les assurés doivent se poser une question : n’aurais-je pas intérêt à me passer d’une complémentaire santé ? […] A vrai dire, aujourd’hui, un grand nombre de Français s’assurent plus par convenance, parce que tout le monde est assuré, que par choix rationnel. »

« Les prix s'envolent pour les complémentaires santé des seniors. […] Le jeu en vaut-il la chandelle ? N’est-il pas préférable d’économiser chaque année sur le coût de sa complémentaire – plus de 1 500 € par an dans notre exemple, soit 30 000 sur 20 ans ! – et de conserver ces économies pour assumer soi-même les soins les moins bien remboursés ? »

« Pour certains soins coûteux comme l’optique ou l’appareillage auditif notamment, le reste à charge peut être élevé en dépit des planchers de remboursement désormais fixés pour tous les contrats responsables. Si vous avez souscrit une complémentaire santé en regard des forfaits de remboursement accordés pour ce type de soins, calculez votre ratio cotisations/remboursements sur les 2 ou 3 dernières années… histoire de vérifier si une telle assurance se justifie vraiment. »

« Ce fossé entre les cotisations et les remboursements n'est pas une exception, c'est la règle, notamment pour les retraités. Bien sûr, les assureurs sont toujours prompts à vous sortir le cas d'un assuré pour lequel la complémentaire a couvert au-delà des cotisations. Sur un ou deux ans, c'est possible, en effet. Au-delà, aucun exemple n'est fourni. La faute à des niveaux de cotisation devenus prohibitifs, notamment passé 60 ans. »

« Cotiser  à une mutuelle ne signifie pas  pour autant bénéficier d’une prise en charge intégrale de vos dépenses de santé. Depuis l’introduction des contrats dits ‘responsables’, certains remboursements sont plafonnés. […] Si par exemple, la consultation d’un ophtalmologiste est facturée 100 €, même la meilleure des complémentaires laissera à votre charge au moins 50 €. »

« Un particulier qui a des problèmes récurrents de vue ou de dents fera des économies en décidant de mettre tous les mois 20 à 30 euros de côté, en prévision de telles dépenses, plutôt qu'en payant très cher une complémentaire santé couvrant ce type de soins. »

« Soyez votre propre assureur en alimentant un compte dédié. Pour franchir le pas, commencez par résilier votre contrat mais faites comme si vous y cotisiez toujours. Epargnez la somme. Mois après mois, vous allez vous constituer un capital dans lequel vous viendrez puiser pour chacun de vos soins [...] Les économies générées vont vite vous surprendre. »

« Même les personnes qui n’ont pas une santé de fer peuvent être gagnantes en devenant leur propre assureur pour ces dépenses récurrentes, mais généralement peu élevées.  »

Ils témoignent

Jacques M.

Retraité à Paris

« Depuis que j’ai pris ma retraite, ma mutuelle n’a cessé d’augmenter. L’année dernière, je payais deux fois et demi plus cher que lorsque j’étais salarié ! Et je n’étais pas mieux remboursé. Depuis que je connais MutuaMea, je sais qu’il existe une solution pour disposer d’une excellente couverture et savoir exactement ce que je dépense pour ma santé. En plus, avec eux, ce que je ne dépenserai pas, je l’économiserai chaque mois sans effort dans ma cagnotte. Et si un jour j’ai un souci de dépendance, ça pourra servir, je n’embêterai personne. »

Béatrice A.

Négociatrice indépendante en immobilier dans les Yvelines

« Travailler à son compte, ça veut dire qu’on connaît la valeur de son temps et la valeur de l’argent. En plus on a l’habitude de la mise en concurrence. Alors pour choisir une complémentaire santé, j’ai cherché un contrat simple, pas cher et qui m’assure vraiment. J’ai commencé par comparer les contrats santé des grands assureurs. Puis j’ai regardé MutuaMea. Il n’y a pas photo : c’est vraiment une nouvelle manière d’assurer sa santé, c’est plus rationnel plus sûr et plus économique. Ce que je ne dépense pas je l’épargne et l’assurance hospitalisation élargie est bien une des meilleures du marché. Souscrire est très simple, ça ne prend que quelques minutes. »

Nadia L.

Cadre de la fonction publique à Issy-les-Moulineaux

"Quand je suis devenue fonctionnaire, j'ai adhéré à la mutuelle que l'on m'a proposé sans y réfléchir. Ce n'est que récemment, après avoir été malade, que j'ai fait mes comptes. Pendant des années, j'ai payé à fonds perdus une assurance trop faible. Beaucoup de mes collègues prennent une autre complémentaire santé en plus.
Moi j'ai choisi : C'est MutuaMea parce qu'avec ce système, on mutualise ce qui doit vraiment l'être : les risques graves, et pour le reste on épargne en douceur. Et en pus c'est beaucoup moins cher !"

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